La boucherie est une passion chez les Boucheries Nivernaises, une tradition qui perdure depuis deux siècles chez la famille Bissonnet. Notre maison, fondée en 1954 par Monique et Jean, a évolué d’une boucherie familiale artisanale à une entreprise leader sur le marché de la viande de haute couture.
Chaque matin, avant l’aube, le ballet des camionnettes qui partent pour garnir les tables de Paris, d’Île-de-France et au-delà, rythme l’histoire d’une passion qui continue de s’écrire.
La boucherie est une passion chez les Boucheries Nivernaises, une tradition qui perdure depuis deux siècles chez la famille Bissonnet. Notre maison, fondée en 1954 par Monique et Jean, a évolué d’une boucherie familiale artisanale à une entreprise leader sur le marché de la viande de haute couture.
Chaque matin, avant l’aube, le ballet des camionnettes qui partent pour garnir les tables de Paris, d’Île-de-France et au-delà, rythme l’histoire d’une passion qui continue de s’écrire.
L’origine du nom remonte à la fin de juillet 1947, lorsque nos arrière-grands-parents, Alice et Bernard Milan, ont acquis une ferme de 64 hectares au Veurdre, à quelques kilomètres de Sancerre, la capitale de la race charolaise et nivernaise. Ces verts pâturages, exposés sur un terrain pentu aux paysages magnifiques, où coule l’Allier en contrebas, représentent le bonheur à l’état pur pour une famille de bouchers.
La suite, “coule de source”: Il était évident que lorsque Monique et Jean quittaient Suresnes et arrivaient au 99 rue du Faubourg Saint-Honoré, en 1959, à 22 numéros du palais présidentiel, ils transformaient le nom de “Boucheries Bissonnet” en “Boucheries Nivernaises”.
L’origine du nom remonte à la fin de juillet 1947, lorsque nos arrière-grands-parents, Alice et Bernard Milan, ont acquis une ferme de 64 hectares au Veurdre, à quelques kilomètres de Sancerre, la capitale de la race charolaise et nivernaise. Ces verts pâturages, exposés sur un terrain pentu aux paysages magnifiques, où coule l’Allier en contrebas, représentent le bonheur à l’état pur pour une famille de bouchers.
La suite, “coule de source”: Il était évident que lorsque Monique et Jean quittaient Suresnes et arrivaient au 99 rue du Faubourg Saint-Honoré, en 1959, à 22 numéros du palais présidentiel, ils transformaient le nom de “Boucheries Bissonnet” en “Boucheries Nivernaises”.
Monté de son Loiret natal avec son épouse Monique, Jean créé sa 1ère boucherie à Suresnes. Ils s’installeront ensuite rue du Faubourg Saint-Honoré à Paris pour devenir le fournisseur de son prestigieux voisin le palais de l’Elysée. Le général de Gaulle qui payait ses commandes sur ses deniers personnels aidera à la renommée de la Maison.
Ouverture 99, rue du Faubourg Saint Honoré, fournisseur des plus grandes tables. En rachetant un magasin de jouets et une boutique de fleurs, Jean arrive au 99, rue du Faubourg Saint-Honoré. La proximité de cette adresse avec les grands établissements de Paris va permettre à la Maison de servir les grandes tables des environs ainsi que les riverains.
L’aventure Parly II.
Pour la première fois, un boucher traditionnel ouvre une boucherie dans un centre commercial, à Parly 2. Jean souhaite tout en servant les grands hôtels et restaurants garder un contact direct et bénéfique avec les consommateurs de ses produits. Cette volonté de s’adresser à la fois à des professionnels, comme à des particuliers exigeants ne sera jamais remise en question dans le groupe.
Bernard Bissonnet rejoint son père. Reproduisant la veille tradition de la famille Bissonnet, bouchers depuis le second empire, Bernard, le fils de Jean, reprend la suite de son Père et permet aux Boucheries Nivernaises, par ses efforts, de devenir progressivement l’un des leaders de la viande de luxe en France.
Sur le MIN de Rungis. Les Boucheries Nivernaises s’installent en 1997 sur le MIN de Rungis afin, par ce positionnement physique, d’améliorer le sourcing de leur produit et permettre la sélection des meilleurs viandes pour leurs clients.
Un nouvel atelier. Ouverture de l’Atelier des Boucheries Nivernaises à L’Haÿ-les-Roses. Cette installation de 800 m2 de frigos situés à proximité du MIN de Rungis permet de travailler pour l’hôtellerie et la restauration en France et en dehors de nos frontières permettant un rayonnement de la marque en France et à l’étranger.
Jean Baptiste rejoint l’aventure familiale. Les Boucheries comptent relever les grands défis du secteur de la viande qui seront ceux du XXIè siècle. Qu’il s’agisse du respect dû aux animaux, de la prise en compte de l’impact environnemental des entreprises ou de l’égalité des chances au sein du groupe, les Boucheries Nivernaises seront toujours une source d’innovation positive et éthique.
Tournée vers l’avenir. Toujours vers l’avant, Jean-Baptiste tient à préserver le savoir faire et la qualité qui ont fait la réputation des Boucheries Nivernaises. C’est pourquoi la proximité avec les producteurs et les éleveurs sera renforcée et l’essor vers l’international dynamisé afin de faire profiter au plus grand nombre la qualité des produits et viandes françaises.
Monté de son Loiret natal avec son épouse Monique, Jean créé sa 1ère boucherie à Suresnes. Ils s’installeront ensuite rue du Faubourg Saint-Honoré à Paris pour devenir le fournisseur de son prestigieux voisin le palais de l’Elysée. Le général de Gaulle qui payait ses commandes sur ses deniers personnels aidera à la renommée de la Maison.
Ouverture 99, rue du Faubourg Saint Honoré, fournisseur des plus grandes tables. En rachetant un magasin de jouets et une boutique de fleurs, Jean arrive au 99, rue du Faubourg Saint-Honoré. La proximité de cette adresse avec les grands établissements de Paris va permettre à la Maison de servir les grandes tables des environs ainsi que les riverains.
L’aventure Parly II .
Pour la première fois, un boucher traditionnel ouvre une boucherie dans un centre commercial, à Parly 2. Jean souhaite tout en servant les grands hôtels et restaurants garder un contact direct et bénéfique avec les consommateurs de ses produits. Cette volonté de s’adresser à la fois à des professionnels, comme à des particuliers exigeants ne sera jamais remise en question dans le groupe.
Bernard Bissonnet rejoint son père. Reproduisant la veille tradition de la famille Bissonnet, bouchers depuis le second empire, Bernard, le fils de Jean, reprend la suite de son Père et permet aux Boucheries Nivernaises, par ses efforts, de devenir progressivement l’un des leaders de la viande de luxe en France.
Sur le MIN de Rungis. Les Boucheries Nivernaises s’installent en 1997 sur le MIN de Rungis afin, par ce positionnement physique, d’améliorer le sourcing de leur produit et permettre la sélection des meilleurs viandes pour leurs clients.
Un nouvel atelier. Ouverture de l’Atelier des Boucheries Nivernaises à L’Haÿ-les-Roses. Cette installation de 800 m2 de frigos situés à proximité du MIN de Rungis permet de travailler pour l’hôtellerie et la restauration en France et en dehors de nos frontières permettant un rayonnement de la marque en France et à l’étranger.
Jean Baptiste rejoint l’aventure familiale. Les Boucheries comptent relever les grands défis du secteur de la viande qui seront ceux du XXIè siècle. Qu’il s’agisse du respect dû aux animaux, de la prise en compte de l’impact environnemental des entreprises ou de l’égalité des chances au sein du groupe, les Boucheries Nivernaises seront toujours une source d’innovation positive et éthique.
Tournée vers l’avenir. Toujours vers l’avant, Jean-Baptiste tient à préserver le savoir faire et la qualité qui ont fait la réputation des Boucheries Nivernaises. C’est pourquoi la proximité avec les producteurs et les éleveurs sera renforcée et l’essor vers l’international dynamisé afin de faire profiter au plus grand nombre la qualité des produits et viandes françaises.
Les Bissonnet servent la présidence de la République depuis plus d’un demi-siècle. C’est un honneur d’être au service de l’Élysée et, par la même de promouvoir l’art de la boucherie traditionnelle française ainsi que les produits d’exception de nos terroirs.
Pour ceux qui espèrent obtenir…
Le tapis rouge a été déroulé ce soir-là dans la cour d’honneur de l’hôtel particulier du Musée de la Chasse et de la Nature à Paris pour célébrer un homme d’exception : Jean Bissonnet. Un artisan boucher arrivé dans la capitale sans un sou à 17 ans en 1946…
Photos: Grégoire Kalt
The Bissonnet family has been serving the presidency of the Republic for over half a century. It is an honour to be in the service of the Élysée and, at the same time, to promote the art of traditional French butchery and the exceptional products from our regions.
For those who hope to obtain anecdotes from the Élysée’s butcher about the culinary preferences of our presidents, know that it is a mission impossible; “professional discretion” demands it!
Therefore, we will know nothing about the gastronomic tastes of our presidents.
“I will not disclose anything” – that’s what “Je larleraipem lapuche” means in Louchébem, the argot of butchers, explains Jean-Baptiste Bissonnet, the CEO of Boucheries Nivernaises, a well-known and respected establishment among meat enthusiasts, located just a few steps from the presidential palace.
The red carpet was rolled out that evening in the courtyard of the private mansion of the Museum of Hunting and Nature in Paris to celebrate an exceptional man: Jean Bissonnet. He was a skilled butcher who arrived in the capital with nothing to his name at the age of 17 in 1946.
For half a century, his butcher shops have supplied the Republic, from the presidency to the National Assembly, including Matignon, the ministries, luxury hotels, and restaurants. The ceremony was marked by the presence of Henri de Castries, President of the François Sommer Foundation for Hunting and Nature, who had the honor of presenting Jean Bissonnet with the Legion of Honor.
“For once, it’s not me serving the Rosette but receiving it.” The solemnity of the ceremony organized in his honor didn’t take away the sense of humor from the famous 87-year-old Parisian butcher. This distinction crowns a career that propelled him to the halls of the Republic and onto the tables of Michelin-starred restaurants.
Surrounded by his entire family, Jean Bissonnet addressed his children in his moving speech:
“You, Bernard, at six months, were playing with a pig’s tail near the butcher’s block, to the great despair of your mother, who would dress you up nicely when you were with us in our butcher shop. You, Michel, at seven, perched on a stool to reach the butcher’s block, were trimming meat at my mother-in-law Mémé Alice’s butcher shop on Rue Saint-Dominique in the 7th arrondissement of Paris. As for you, Catherine, you pledged your oath to Hippocrates rather than Saint Jacques, our patron saint, and you care for the eyes of gourmets so they can devour with their gaze the beautiful marbled ribeye from Les Nivernaises.”
An iconic address was needed to embody the Bissonnet saga. So, in the spring of 1959, this neighborhood shop in the 8th arrondissement was established at 99 Rue du Faubourg-Saint- Honoré. It was named Les Boucheries Nivernaises, “in memory of Monique’s parents, who had a beautiful farm in Le Veurdre, near the famous livestock market of Sancoins, in Nivernais,” explained Jean, who had discovered this location while visiting his cousin, a seamstress working right across from this splendid butcher shop. “This establishment frightened me a little, as we didn’t have much money,” added Monique Bissonnet.”
Sixty years later, people still come here to buy flank steak and flank steak next to luxury boutiques and art galleries. It’s a remarkable lesson in life in a district that no longer has many butchers today.
Les Boucheries Nivernaises embody both the preservation of local commerce and high-end craftsmanship in their workshops, where the butchers prepare veal sweetbreads, beef fillets, and other made-to-order dishes for the most prestigious kitchens.”
Les Bissonnet servent la présidence de la République depuis plus d’un demi-siècle. C’est un honneur d’être au service de l’Élysée et, par la même de promouvoir l’art de la boucherie traditionnelle française ainsi que les produits d’exception de nos terroirs.
Pour ceux qui espèrent obtenir du boucher de l’Élysée des anecdotes sur les préférences culinaires de nos présidents, sachez que c’est une mission impossible, la “discrétion professionnelle” l’exige !
Par conséquent, nous ne saurons rien sur les goûts gastronomiques de nos présidents.
“Je ne parlerais pas ” – c’est ce que signifie “Je larleraipem lapuche” en louchébem, l’argot des bouchers, explique Jean-Baptiste Bissonnet, directeur général des Boucheries Nivernaises, une enseigne reconnue et appréciée par les amateurs de viande, située à quelques pas du palais présidentiel.
Le tapis rouge a été déroulé ce soir-là dans la cour d’honneur de l’hôtel particulier du Musée de la Chasse et de la Nature à Paris pour célébrer un homme d’exception : Jean Bissonnet. Un artisan boucher arrivé dans la capitale sans un sou à 17 ans en 1946.
Depuis un demi-siècle, ses boucheries ont fourni la République, de la présidence à l’Assemblée Nationale, en passant par Matignon, les ministères, les palaces, les grands hôtels et les restaurants. La cérémonie a été marquée par la présence d’Henri de Castries, Président de la Fondation François Sommer de la Chasse et de la Nature, qui a eu l’honneur de remettre à Jean Bissonnet les insignes de la Légion d’honneur.
“Pour une fois, ce n’est pas moi qui sers la Rosette, mais qui la reçois.” La solennité de la cérémonie organisée en son honneur n’a pas ôté son sens de l’humour au célèbre boucher parisien de 87 printemps. Une distinction qui vient couronner une carrière qui l’a propulsé sous les ors de la République et sur les tables étoilées.
Entouré de sa famille au grand complet, Jean Bissonnet s’adressait ainsi à ses enfants lors de son émouvant discours :
“Toi, Bernard, à six mois, tu jouais avec une queue de cochon près du billot au grand désespoir de ta mère qui te faisait tout beau quand tu étais avec nous dans notre boucherie. Toi, Michel, à sept ans, juché sur un tabouret pour atteindre le billot, tu épluchais la viande dans la boucherie de ma belle- mère, Mémé Alice, rue Saint-Dominique dans le 7ème à Paris. Quant à toi, Catherine, tu as prêté serment à Hippocrate plutôt qu’à Saint Jacques, notre saint patron, et tu soignes les yeux des gourmets afin qu’ils dévorent du regard la belle côte de bœuf persillée des Nivernaises.”
Il fallait une adresse emblématique pour incarner la saga Bissonnet. C’est ainsi qu’au printemps 1959, cette boutique de quartier du 8e arrondissement a vu le jour au 99, rue du Faubourg-Saint- Honoré. Elle sera baptisée: Les Boucheries Nivernaises, « en souvenir des parents de Monique qui avaient une belle ferme au Veurdre, à proximité du célèbre marché aux bestiaux de Sancoins, dans le Nivernais », explique Jean, qui avait découvert cette adresse en rendant visite à sa cousine, une couturière travaillant juste en face de cette magnifique boucherie. « Cette installation me faisait un peu peur, nous n’avions pas beaucoup d’argent », ajoute Monique Bissonnet.
Soixante ans plus tard, on y vient toujours acheter du plat de côte et de la bavette à côté des boutiques de luxe et des galeries d’art. Il faut y voir une belle leçon de vie dans un arrondissement qui ne compte plus beaucoup de boucheries aujourd’hui.
Les Boucheries Nivernaises incarnent à la fois la préservation du commerce de proximité et un artisanat haute couture dans leurs ateliers, où les bouchers préparent : le ris de veau, filets de bœuf et autres commandes sur-mesure destinées aux cuisines les plus prestigieuses.